Mon programme dont les priorités sont l’éducation et la justice sociale fera une place de choix à l’instauration d’un Etat fort et moderne au service du citoyen, avec un climat politique apaisé, des institutions solides et une administration efficace.
Mohamed Cheikh Elghazouani
L’objectif du Programme du visait une culture du dialogue et des intérêts partagés où chaque citoyen à la possibilité de s’assumer. Au nom de ses hautes fonctions, il lui appartient d’asseoir son leadership en faisant vivre, en gérant ce qui permet l’expression du lien social, lequel s’analyse dans les valeurs, les patrimoines culturels, spirituels, matériels, immatériels, qui sont ces ciments de confiance et de solidarité accumulées. Là se situe l’éthique de la gouvernance avec sa solidarité active, son équité, au service du développement et de la pacification des rapports entre les citoyens. Ce Programme vise à rompre avec les intérêts immédiats et pour susciter la confiance.
Je sais que ce sont les fonctionnaires et agents de l’Etat qui conçoivent les politiques publiques, préparent leur adoption, les mettent en œuvre ou supervisent et assurent le suivi de leur mise en œuvre2 Dans les écoles, dans les centres de soins, dans les bureaux administratifs, sur les chantiers et la voie publique, aux frontières, un peu partout sur l’ensemble du territoire national et à l’Extérieur, ce sont ces fonctionnaires civils et militaires qui donnent à l’Etat un visage humain pour le citoyen2 Je veillerai à ce que le professionnalisme, l’intégrité et le respect des standards techniques et moraux soient des caractéristiques constantes de notre Administration. Je compte apporter une réponse rapide et efficace aux dysfonctionnements régulièrement réitérés dans nos services publics, notamment : La dilution des responsabilités, facilitée par une prolifération des structures administratives avec des chevauchements de compétences ;
o L’inflation de la production législative et réglementaire ;
o L’absence d’adéquation des profils et des emplois ;
o Une gestion publique encore archaïque axée sur les moyens et non sur les résultats et marquée par l’absence de la culture de rendement, de l’évaluation et de la reddition des comptes ;
o La faiblesse de la conscience professionnelle, de l’éthique et du sens de l’Etat parmi les fonctionnaires et agents de l’Etat ;
Bref un petit rappel des engagements du Président de la République, ce Programme à créer beaucoup d’espoir et certains cadres d’envergure internationale ont quitté leurs fonctions pour contribuer au développement du pays en aidant le Président à exécuter ce Programme ambitieux.
Pour illustration le cas de ce cadre intègre Limam ABDAWA qui est compètent, intègre ayant un grand carnet d’adresse et pouvait compléter ce gouvernement en lui confiant l’une des politiques ou un département politique de choix. Il a travaillé dans plusieurs agences du système des nations unies PAM et PNUD et connait parfaitement les rouages du niveau global. Il a initié plusieurs projets en lien avec l’environnement au profit des communautés vulnérables et la mise en œuvre du Cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe.
Ce cadre pouvait être un excellent ministre de l’agriculture ou de l’environnement et du développement durable et apportera une contribution effective aux objectifs fixée par le Président de la République.
Si vous voyez que LIMAM a quitté un poste international pour servir le Programme du Président cela est un signe vraiment de son adhésion à ce programme. Ses qualités intrinsèques et son engagement font de lui le cadre à ne pas laisser en marge c’est pourquoi plusieurs compatriotes croient que le pouvoir n’a pas besoin de compétences.
Mohamed Moustapha