Ce Projet financé pour plus de 25 millions de dollars par la Banque mondiale, deux et demi millions de dollars par le Gouvernement Mauritanien et un et demi-million de dollars par les contributions des bénéficiaires. Presque trente millions de dollars investis pour l’objectif de : améliorer les capacités des partie prenantes à développer et gérer l’irrigation. Accroitre les superficies irriguées en suivant une approche régionale basée sur les Solutions etc…. Les cibles directes du projet sont les agriculteurs….

Il travaille sur trois composantes don C est gestion de connaissance et coordination.

La durée de ce projet est six ans 2018 – 2024

Ce projet mène une campagne actuellement dans l’opacité totale amenant les autorités administratives à signer des arrêtés en violation de toute la règlementation nationale pour des fins inavoués.

Le projet est sous tutelle du ministère de l’agriculture qui est en charges des organisations agricoles s’il veut faire des arrêté l’instruction doit venir de ce département aux walis.

Les modalités de choix des agriculteurs ou des comités doit se faires de façon inclusive et transparente.

Les organisations de la Société civile au Guidimakha par la voix de l’ONG ADIG demande aux pouvoirs publics des éclaircissement par rapport au comportement de ce projet qui montre qu’il n’a aucun respect à cet Etat. Ce permettre de venir dans une région et mettre un comité entièrement désigné par un service technique de façon simpliste.Les deux Moughata agricole ne sont même pas représentés Ghabou et Wompou.

D’autant plus que les textes dont il a fait référence concerne des domaines qui ne le concerne pas les coopératives de pêche artisanale, les coopératives de crédit et d’épargne ; «  Les dispositions de la loi n° 93-15 du 21 janvier 1993 portant modification de certaines référence  dispositions de la loi n° 67-171 du 18 juillet 1967 portant statut de la coopération sont applicables, mutatis mutandis, aux coopératives de pêche artisanale, aux coopératives de crédit et d’épargne à la pêche artisanale. »

Cette situation nécessite une investigation sérieuse ; notre Etat est devenu aussi faible aussi fragile ou n’importe qui peut inciter à des prises de décision contraire aux lois ?  S’agit-il d’un acte de sabotage pour le système ?

Le Ministre de l’Agriculture doit veiller sur le bon fonctionnement des projets sous sa tutelle car se comportement porte préjudice à sa crédibilité en tant que premier responsable du secteur.

Arrêté Portant agrément d’une plateforme Multi-ActeurDénommée : Plateforme de Gestion des Connaissance est un veritable usage de faux aucun juriste ne peut admettre ce jargon pour la forme et le fond les individus mis dans cet arreté ont été choisis comment ? Ou sont les elus , la societé civile et les citoyens et les agriculteurs?

Mohamed Moustpha

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *