Des groupes djihadistes au Sahel exploitent la pandémie pour intensifier les attaques: le chef de l’ONU

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Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a averti que des groupes djihadistes dans la région du Sahel en Afrique du Nord exploitent la pandémie de coronavirus pour intensifier les attaques, selon des documents consultés par l’AFP.

Le chef des Nations Unies a appelé à une meilleure coordination entre les différentes forces anti-djihadistes combattant un ensemble de groupes armés.

“Les groupes terroristes profitent de la pandémie de COVID-19 pour intensifier leurs attaques et contester l’autorité de l’État dans toute la sous-région”, a déclaré António Guterres.

 

Il a noté que le problème était particulièrement aigu dans la zone connue sous le nom de triangle Liptako-Gourma, une zone frontalière entre le Niger, le Mali et le Burkina Faso.

“Les preuves suggèrent également une coordination et une coopération accrues entre certains des groupes terroristes opérant dans tout le Sahel, de la Mauritanie au bassin du lac Tchad”, a-t-il déclaré.

“La situation désastreuse dans la région du Sahel est encore aggravée par la propagation de la pandémie de COVID-19 en Afrique, avec des groupes terroristes qui l’exploitent à des fins de propagande et d’action, avec un impact potentiel grave sur la région”, a ajouté le secrétaire général.

En raison de la pandémie, qui a entraîné la fermeture de la frontière entre le Mali et la Mauritanie, les opérations de la soi-disant force anti-djihadiste du G5-Sahel ont été suspendues.

Le G5 est une force de 5 000 hommes avec des troupes du Tchad, du Burkina Faso, du Niger, du Mali et de la Mauritanie qui coopèrent avec les troupes françaises pour lutter contre une insurrection islamiste croissante.

“L’impact de la pandémie sur la capacité de la Force interarmées et des forces internationales à mener des opérations dans les mois à venir est difficile à déterminer à ce stade et devra être soigneusement et continuellement évalué”, a déclaré António Guterres.

Le rapport du secrétaire général sur les récents développements en matière de sécurité dans la région du Sahel a souligné que “le nombre de personnes décédées des attaques terroristes a quintuplé depuis 2016, avec plus de 4000 décès signalés en 2019 par rapport à environ 770 décès en 2016 . ”

Depuis novembre, la réalité sur le terrain “a été marquée par une détérioration de la situation sécuritaire au Mali et dans la région du Sahel, caractérisée par une augmentation des attaques terroristes de plus en plus complexes, ciblant principalement les forces armées et de sécurité”, prévient le rapport.

Guterres a appelé à “une meilleure coordination entre les différentes forces et une clarté en ce qui concerne le commandement et le contrôle”.

Outre les différentes armées nationales et les forces du G5 déployées dans la région du Sahel, la région compte également une force française de 5 100 hommes et un groupe de maintien de la paix de l’ONU de 15 000 membres.

Une nouvelle force internationale est également lancée à la suite d’une initiative française et baptisée Takuba, qui regroupe des forces spéciales de différents pays.

Face au coronavirus, la défaillance de la première puissance mondiale

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Depuis la découverte des premiers cas sur le territoire américain, le président des États-Unis est passé du déni à la désignation de boucs émissaires et se concentre aujourd'hui sur un seul objectif : la reprise de l'activité économique. Donald Trump a toujours affiché son mépris pour la science, et continue de nier farouchement les responsabilités de son administration dans les retards pris pour affronter la pandémie. Les dysfonctionnements constatés dans la manière dont les États-Unis ont abordé cette crise majeure ont été exacerbés par sa gestion chaotique. Bien que touchée après l’Asie et l’Europe, la première puissance mondiale ne s’est pas préparée à l’arrivée de la pandémie. Retour sur la chronologie d’une catastrophe annoncée.

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De notre correspondante à Washington, 

  • Janvier : les premières alertes 

Le 18 janvier 2020, Donald Trump se trouve dans sa résidence de Mar El Lago en Floride, lorsqu’il reçoit un appel téléphonique de son secrétaire à la Santé. Alerté au début du mois sur la possibilité d’une épidémie mondiale, Alex Azar juge qu’il est temps d’informer formellement le président. Mais Donald Trump, qui a déjà entendu parler du coronavirus lors des points quotidiens des services de renseignements, est surtout préoccupé par la procédure de destitution engagée contre lui au Congrès, et balaye les inquiétudes de son secrétaire à la Santé.

Le lendemain, alors que le procès du président au Sénat concentre l’attention de tous les médias, un habitant de Seattle qui a voyagé en Chine est déclaré positif au coronavirus. C’est le premier cas officiellement décelé sur le territoire américain. Le centre de contrôle et de prévention des maladies infectieuses, déjà sur le qui-vive, obtient le renforcement des contrôles mis en place dès le 17 janvier sur les vols en provenance de Chine dans les principaux aéroports du pays. Les autorités sanitaires alertent le Pentagone, le département d’État et les services de l’immigration sur le potentiel dévastateur du virus. Mais le président ne semble pas concerné.

Le 22 janvier, Donald Trump est à Davos, où il participe au Forum mondial de l’économie. Il est interrogé publiquement pour la première fois au sujet d’une potentielle épidémie aux États-Unis par la chaine de télévision CNBC« Nous contrôlons complètement la situation, tout va bien se passer »assène-t-il.

 

À Washington, les efforts de l’administration se concentrent essentiellement sur le contrôle des frontières et sur le rapatriement des américains séjournant en Chine. Une équipe est finalement constituée à la fin du mois au sein de l’exécutif, sous la houlette du vice-président Mike Pence, pour coordonner les efforts de l’administration, toujours concentrée sur le sort des américains expatriésLe risque semble lointain. À la Maison Blanche, le conseiller au Commerce du président semble néanmoins prendre la mesure de la menace : dans un mémo rédigé le 29 janvier, il prévient que la maladie pourrait mettre en péril la vie d’un demi-million d’Américains. Mais Peter Navarro est jugé viscéralement hostile à la Chine, et son avertissement n’est pas pris au sérieux. Le 31 janvier, les autorités annoncent une première mesure pour lutter contre la propagation du virus : toute personne étrangère ayant séjourné en Chine au cours des deux semaines précédentes est désormais interdite de séjour sur le sol américain. Une décision conforme à la volonté politique du président, fervent partisan d’un sévère contrôle des flux migratoires.

Mais le coronavirus est déjà aux États-Unis et aucun préparatif n’est enclenché sur le sol national pour tenter de limiter sa circulation. 

►À lire aussi : Coronavirus : les États-Unis accusent la Russie de désinformation en ligne

  • Février : déni et immobilisme

Le premier Américain emporté par le coronavirus décède le 7 février à l’hôpital de Wuhan. « C’est juste une personne en Chine »commente le président, qui assure avoir pris une mesure décisive en ayant fermé le territoire américain aux voyageurs en provenance de ce pays. La veille, une Californienne de 57 ans est morte chez elle, dans l’anonymat. Une autopsie réalisée en avril montrera qu’elle est aussi décédée du coronavirus. Mais en ce début février, tout le monde l’ignore, et le danger semble encore loin pour les Américains.

Richard Burr, chef de la commission du renseignement au Sénat s’emploie à les rassurer : « Le gouvernement est mieux préparé que jamais pour parer au Covid-19 »écrit-il le même jour sur le site de Fox News. Le sénateur a pourtant été prévenu de l’imminence de la crise dans le cadre de ses fonctions : il en tire d’ailleurs les conséquences à titre personnel, et vend en bourse entre 600 000 et 1,7 millions de dollars de titres, notamment des actions de chaines hôtelières, anticipant la plongée des valeurs à Wall Street. Trois autres sénateurs se débarrassent de leurs actions après avoir assisté à la même réunion. Les autorités sanitaires ont aussi prévenu les gouverneurs que le nombre de malades allait augmenter de manière exponentielle, et certains commencent à se préparer à l’arrivée de l’épidémie. 

Il n’y a encore qu’une dizaine de cas aux États-Unis, et le discours officiel reste celui de l’apaisement. En meeting dans le New Hampshire le 10 février, Donald Trump assure même que le virus aura disparu au mois d’avril,« avec l’arrivée des premières chaleurs printanières »L’administration a ressorti les chiffres des décès annuels dus à la grippe, et ne cesse de les brandir pour minimiser la menace du coronavirus. Le président lui-même évoque régulièrement« un virus grippal ». « La grippe tue des dizaines de milliers d’Américains chaque année, la vie continue »écrit-il sur son fil Twitter. Le 25 février, Donald Trump est en déplacement officiel en Inde et affirme contre toute évidence « Nous sommes très proches d’avoir un vaccin. »  Deux jours plus tard, de retour à Washington, le président assure devant la presse « le bilan sera proche de zéro, on fait un très bon boulot »avant d’ajouter« le virus va disparaitre, il va disparaitre comme un miracle »

Au même moment, un cas de transmission est pour la première fois repéré sur le sol américain, en Californie.  Sur Fox News, la chaine de télévision préférée du président, les commentateurs se moquent du coronavirus, et dénoncent un complot politique mené par les démocrates dans le but de nuire à la présidence. La présentatrice Trish Regan s’emporte « Les démocrates jouent avec la peur. C’est une nouvelle tentative pour tenter de destituer le président. La haine déborde »L’argument est repris par le président lors d’un meeting le 28 février en Caroline du Sud, sous les acclamations de ses partisans. Le lendemain, le président annonce le premier décès d’un homme des suites d’une infection du Covid-19 sur le sol américain. Il s’agit d’un quinquagénaire qui n’avait pas voyagé auparavant. 

  • Mars : changement de ton à la Maison Blanche

08-05-2020 01:00 - Ghazouani, le général Corona et Clemenceau : Qui enfourchera le cheval blanc?/Par Brahim Bakar Sneiba

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Le Calame - Honneur et horreur deux mots qui riment, sans avoir le même sens. Leur prononciation "con-sonne". Ils ne sont pas synonymes. Ils sont des paronymes. Ils ne sont pas considérés comme des contraires en grammaire, mais ils différent par le sentiment qu’ils inspirent. L’un, bien sûr, l’honneur, est souhaité, aimé, cherché et recherché de tout le monde. 

Tout en insultant l’horreur, tous les hommes, sous tous les cieux, recherchent l’honneur. Chez les Romains, il est l’objet d’une vaste littérature. Bien des dramaturges ont traité de drames et de psychodrames tournant autour de l’honneur, de sa perte et de la crainte de le perdre. 

Au lycée, nous eûmes droit à un régal avec Le Cid de Corneille. Don Rodrigue, partagé entre l’amour de Chimène et le devoir incontournable de venger son père, giflé par Don Diegue, le père de Chimène. Dans Antigone de Jean Anouilh, Antigone est obligée d’enterrer son frère allant à l’encontre des décisions de son père, Œdipe, le Roi de Thèbes. 

Chez les Arabes, le sens de l’honneur est si aigu que l’infanticide fut un douloureux devoir. Alors païen, Omar ibn AL khatab dût mettre en terre sa fille vivante. Entré en Islam, le futur khalife dira que la seule chose qui lui fit la plus grande peine est qu’au moment où il mettait sa fille en terre, la petite innocente encore vive, leva son bras pour lui épousseter sa barbe. 

On se rappelle que Ghays, le « fou de Leila »ne put l’épouser, puisque, question d’honneur, un homme qui déclame un poème pour une femme ne pourra plus la marier, tant les vers impudents déshonoraient les parents de la fiancée. Cette phrase de François premier a traversé l’histoire comme un fil rouge : « Tout est perdu fors l’honneur.» 

Dans sa lettre à Louise de Savoie après la bataille de Pavie, le 25 février 1525, il écrit : « « Madame, pour vous avertir comment se porte le ressort de mon infortune, de toutes choses ne m’est demeuré que l’honneur et la vie qui est sauve. » Le sens de l’honneur culmine au hara-kiri que font les Japonais ; on voyait couplés l’honneur et l’horreur quand le suicidé se faisait enfoncer un sabre dans les entrailles. 

Guerre non conventionnelle 

Après chaque guerre, l’honneur est objet de litige et constitue le plus grand e

Lutte contre le terrorisme au Sahel : Le Pentagone songe, l’Elysée frémit !

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Même si, en ce moment, l’effort de guerre tend vers la lutte contre la pandémie du Covid-19, il ne faut surtout pas oublier que le monde fait face aussi au terrorisme de l’extrémisme violent. Les pays du Sahel sont particulièrement touchés par ce fléau. Des forces armées étrangères, à leurs têtes la France, luttent tant bien que mal contre les terroristes qui minent la région. Cependant, depuis le début de l’année, alors que la France souhaitait étendre le cercle de pays partenaires dans cette guerre, les USA, leurs alliés de premier rang, songent à réduire leur présence dans la zone. Du coup, l’Elysée se fait de la bile, et jusqu’à l’heure, le Pentagone n’en pipe mot.

La mort de deux légionnaires de la force Barkhane (Dmytro Martynyouk et Kévin Clément), en l’espace juste de quatre jours, rappelle la triste réalité du moment. C’était les vendredi 24 et le lundi 27 avril.

 

La vérité largement méconnue en Afrique subsaharienne, est que la France se sent bien seule dans la lutte contre le terrorisme au Sahel. Les pays de la zone trainent derrière eux des années de délaissement de la chose militaire et une parfaite ignorance de la géopolitique locale ; et au niveau des pays occidentaux, l’on s’en lave les mains préférant faire face aux obligations domestiques. Et si, en plus de ce tableau peu luisant, les US, alliés indispensables de la force Barkhane, songent à réduire leur présence militaire, c’est le cauchemar qui prend vie.

Et pourquoi donc, les Etats-Unis d’Amérique songeraient à réduire leur présence militaire en Afrique, eux qui ne consacrent que 3% de leur force en Afrique ? Pourtant, première puissance militaire au monde, ayant largement les moyens d’y maintenir sa présence, voire de la renforcer, le président américain ne jurerait que par « America first ». Et ce, jusqu’à l’extrême. Même si, pour l’instant aucune décision n’est prise, la simple évocation d’une telle idée suscite l’effroi au sein du commandement de Barkhane. Au niveau aérien, sans l’aide logistique du pays de l’Oncle Sam, la France devrait engager toute sa flotte. Rien que ça ! Sans compter également, les exercices d’entrainement flintlock dispensés auprès de soldats africains.

Donald Trump, président instable et imprévisible, peut à n’importe quel moment prendre la décision de réduire considérablement la présence militaire américaine au Sahel, en méprisant les conséquences sur le terrain. Après tout, prendre des décisions en solitaire, sans se soucier des probables effets néfastes, n’est-ce-pas sa marque de fabrique ? A titre de rappel, il n’a pas hésité à retirer le pays de l’accord sur le nucléaire iranien, de l’accord sur le climat. Et tout dernièrement, il a suspendu la contribution américaine à l’OMS. Au regard de tous ces éléments, les craintes de la France sont légitimes.

Une chose semble sûre, la présence de forces étrangères au Sahel est partie pour durer. Mais, elle aura beau duré, en sera-t-elle  indéfiniment ? Quel sera la réaction des pays concernés quand ce sera le cas ? Autant de questions qui reste sans réponses jusqu’à l’heure.

Ahmed M. Thiam

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2 COMMENTAIRES

  1. ????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

    ENFIN ! EH BIEN …POUR CEUX QUI DOUTAIENT ENCORE …

    ECHOS MEDIAS N 64 DU 8 MAI 2020 NOUS SORT LES DOCUMENTS QUI VONT TROUBLER ENCORE PLUS NOS VOLEURS :

    AFFAIRE BMS – S.I.C.G MALI :
    UNE VENTE AUX ENCHERES INEDITE ET DES DROITS REELS IMAGINAIRES …

    J AI DIT ET REPETE ICI QUE L ON AVAIT FAIT REMETTRE PAR MAITRE SYLVAIN MAKAN KEITA ..HUISSIER ………A MAITRE BASSALIFOU SYLLA DU CABINET BRYSLA LE 22 AOUT 2007 ET A LA BANQUE BHM SA LE 23 AOUT LA COPIE DES DROITS REELS QUE S.I.C.G SA ABIDJAN AVAIT FAIT INSCRIRE SUR LES HALLES DE BAMAKO
    ………
    CELA NE L A PAS EMPECHE DE SAISIR LES HALLES DE BAMAKO EN UTILISANT DES DROITS REELS INNEXISTANTS …POUR ENCAISSER EN PLUS AU PASSAGE UNE COMMISSION !

    …CELA VA COUTER UNE FORTUNE A LA BANQUE BMS QUI EN PLUS A TENTE DE REVENDRE LES HALLES DE BAMAKO LE 18 MARS 2019 …SUR LESQUELLES ELLE N AVAIT AUCUN DROIT ….4 JOURS APRES QU ELLE AIT ETE CONDAMNEE A PAYER 23 MILLIARDS A LA S.I.C.G MALI …LE 14 MARS 2019 !

    LES GROS VOLEURS ONT DE QUOI S INQUIETER MAINTENANT ….!
    ET CEUX QUI LES ONT PROTEGES AUSSI !

    TIENS …POUR MON COUILLON BETE DE “”EL HAJJ N……”” …
    L ARTICLE 32 DE L OHADA SUR LES VOIES D EXECUTIONS …VIOLES …

    “”A L’ EXCEPTION DE L’ADJUDICATION DES IMMEUBLES , L’EXECUTION FORCEE PEUT ETRE POUSUIVIE JUSQU A SON TERME EN VERTU D’UN TITRE PROVISOIRE PAR PROVISION .

    L’EXECUTION EST ALORS POURSUIVIE AUX RISQUES DU CREANCIER , A CHARGE POUR CELUI-CI , SI LE TITRE EST ULTERIEUREMENT MODIFIE , DE REPARER INTEGRALEMENT LE PREJUDICE CAUSE PAR CETTE EXECUTION SANS QU IL Y AIT LIEU DE RELEVER DE FAUTE DE SA PART .

    EN OUTRE IL APPARTIENT A L’ AGENT D’EXECUTION DE DISTINGUER SI LE BIEN FAIT PARTIE DU PATRIMOINE DU DEBITEUR .””

    ….VOUS TROUVEREZ DANS L ARTICLE LE NOM DE L HUISSIER …LE NOM DE BASSALIFOU SYLLA …LE NOM DE BHM SA …DE BMS SA …DE JUGES TOUS VOLEURS …OU COMPLICES …

    HEUREUSEMENT QU AU MALI IL EXISTE BIEN DES GENS HONNETES !
    …J AJOUTE QUE LA PRETENDUE DETTE DE S.I.C.G-MALI N A JAMAIS EXISTE … ! ! ! !
    ET QUE LE CHIFFRE RESSORTI PAR LES GENS DE L OHADA …LE 14 MARS 2019 …EST EXACTEMENT LE MEME QUE CELUI SORTI PAR LES HUISSIERS A BAMAKO ET DEPOSE LE 15 JANVIER 2008 DEVANT LA COUR D APPEL DE BAMAKO ..1, 707 MILLIARDS DUS PAR BHM SA A S.I.C.G MALI ….
    ! ! ! ! ! ! !
    EVIDEMENT …LA CONDAMNATION TIENT COMPTE DES INTERETS …
    ET CE N EST PAS FINI !
    ✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌✌

  2. Ahmed THIAM, qu’est-ce qui vous fait dire que la présence militaire étrangère au Sahel est partie pour durer ? Donald TRUMP n’envisage pas de réduire la présence militaire Américaine au Sahel, il veut tout simplement retirer ses troupes de cette guerre qu’il croit interminable et inutile dans des pays insolvables. Quand on écoute certains hauts gradés de l’armée française dire à quel point cette présence Américaine est crucial sur le plan renseignements, on se demande si le retrait Américain de la région ne va pas précipiter le retrait de BARKHANE avant la présidentielle en France. Certainement que c’est cet espoir de longue présence militaire étrangère qui a poussé les autorités Maliennes à dépenser de quoi acheter 1000 avions sans en avoir un. Le régime Malien engloutit plus 550 milliards FCFA de budget militaire par an plus 1230 milliards FCFA de la loi de programmation militaire sans pouvoir doter son armée de moyens aériens alors qu’un TUCANO flambant neuf ne coûte pas plus de 3 milliards FCFA. Guerre ou pas, comment peut-on prétendre surveiller un territoire de plus de 1,2 millions de kilomètres carrés sans moyens aériens ? De surcroît un pays en guerre ! Si le régime et le peuple du MALI croient pouvoir détourner les sommes destinées à l’armée, faire la fête avec pendant que les autres se tuent à leur place, le réveil pour eux sera catastrophique.

    Sans être un prophète de l’Apocalypse je pense que la présence militaire Française au MALI durera au maximum 3 ans à partir de maintenant. MACRON va retirer les troupes Françaises du MALI avant la présidentielle ou il sera battu par Marine Le Pen qui les retirera, ça MACRON le sait. Ce qui laisse penser que MACRON ou autre, BARKHANE ne serait pas là au delà de 2023. Les Maliens auront une belle occasion d’infliger une belle correction aux petits branleurs de Kidal et du Macina et disposer de leurs immenses ressources du Nord. ????????????????????

 

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Le Premier ministre britannique a invité les pays à s’unir dans un « effort véritablement mondial » pour vaincre le coronavirus lors d’une conférence virtuelle internationale sur les promesses de dons en réponse au coronavirus aujourd’hui

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  • La campagne de promesses de dons d’aujourd’hui marque le début d’une campagne internationale d’investissement d’un mois avant le Sommet mondial sur les vaccins qui sera organisé par le Royaume-Uni le 4 juin.

Le Royaume-Uni est déjà le plus grand donateur du fonds mondial pour trouver un vaccin contre le coronavirus

 

Le Premier ministre britannique Boris Johnson sera aujourd’hui (lundi 4 mai) le co-hôte d’une grande conférence virtuelle internationale pour faire avancer la course mondiale aux vaccins, aux traitements et aux tests contre les coronavirus – et a demandé aux autres pays d’intensifier leurs efforts et de travailler ensemble face au « défi commun le plus urgent de notre vie ».

L’appel à l’action du premier ministre a eu lieu lors de la Conférence internationale des donateurs à la riposte mondiale au coronavirus, organisée conjointement par le Royaume-Uni et huit autres pays et organisations.

Il a confirmé que le Royaume-Uni s’est engagé à verser 388 millions de livres sterling pour financer la recherche sur les vaccins, les tests et les traitements, ce qui fait partie d’un engagement plus important de 744 millions de livres sterling pour aider à mettre fin à la pandémie et soutenir l’économie mondiale.

Cela inclue 250 millions de livres sterling pour la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) pour la mise au point de vaccins contre le coronavirus – le plus important don de ce type fait par aucun autre pays.

Lors de la conférence, le premier ministre a déclaré:

« Pour gagner cette bataille, nous devons travailler ensemble pour construire un bouclier imperméable autour de tout notre peuple, et cela ne peut être réalisé qu’en développant et en produisant un vaccin en masse.

 

« Plus nous conjuguons nos efforts ensembles et partageons notre expertise, plus vite nos scientifiques réussiront. La course à la découverte du vaccin pour vaincre ce virus n’est pas une compétition entre pays, mais le défi partagé le plus urgent de notre vie.

 

« C’est l’humanité contre le virus – nous sommes dans le même bateau, et ensemble, nous l’emporterons. »

 

La secrétaire au Développement international, Anne-Marie Trevelyan, a déclaré :

« Ce n’est qu’en travaillant ensemble que nous parviendrons à prévenir les futures vagues d’infection et pourrons mettre fin à cette pandémie le plus rapidement possible.

 

« En renforçant les systèmes de santé des pays en développement et en s’efforçant de trouver un vaccin, le Royaume-Uni joue son rôle pour enrayer la propagation mondiale du coronavirus afin de sauver des vies partout et de protéger notre NHS. »

 

La lutte contre le coronavirus à l’échelle mondiale est essentielle pour empêcher une deuxième vague de réapparition du virus au Royaume-Uni, ce qui exercerait encore plus de pression sur le NHS. Il veillera également à ce que les vaccins, les traitements et les tests de diagnostic qui sauvent des vies soient disponibles le plus tôt possible.

 

Au Royaume-Uni, les travaux du développement de vaccins progressent au bon rythme – jeudi, l’Université d’Oxford et Astrazeneca ont annoncé un partenariat pour soutenir la fabrication à grande échelle et la distribution potentielle d’un vaccin actuellement mis à l’essai par l’université.

 

Le 4 juin, le Royaume-Uni accueillera le Sommet Global pour les Vaccins, qui réunira des pays et des organisations pour suivre l’exemple britannique en investissant dans le travail de GAVI, l’Alliance du vaccin.

 

La semaine dernière, la secrétaire au Développement international, Anne-Marie Trevelyan, a annoncé un engagement de fonds équivalant à 330 millions de livres par année au cours des cinq prochaines années pour GAVI. Cela aidera à immuniser 75 millions d’enfants dans les pays les plus pauvres du monde.

 

Notes aux éditeurs :

 

  • Le Royaume-Uni a fourni jusqu’à présent 744 millions de livres sterling d’aide britannique pour la riposte mondiale au coronavirus.
  • L’engagement d’aujourd’hui en faveur de l’objectif de 8 milliards de dollars comprend le soutien de 388 millions de livres britanniques précédemment annoncé pour de nouveaux vaccins, tests et traitements
  • 250 millions de livres sterling à la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations, la plus grande contribution de tous les pays, à ce fonds pour la recherche d’un vaccin contre le coronavirus.
  • 40 millions de livres sterling pour soutenir le Global Therapeutics Accelerator, un fonds pour le développement rapide de traitements contre les coronavirus.
  • 23 millions de livres sterling pour aider la Foundation for Innovative and New Diagnostics à développer des tests rapides pour le virus afin d’aider à identifier et à ralentir sa propagation.
  • 75 millions de livres sterling pour la réponse des systèmes de santé critiques de l’Organisation mondiale de la Santé.
  • Le Royaume-Uni a également promis l’équivalent de 330 millions de livres par an au cours des cinq prochaines années à GAVI, l’Alliance du Vaccin.
  • Le Royaume-Uni est l’hôte du sommet d’aujourd’hui avec le Canada, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Japon, la Norvège, l’Arabie saoudite et la Commission européenne.

 

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